Mais on est quand même en enfer… :-)
]]>J’aime, Berni, comme vous parlez de vos “images".
J’espère que vous allez bien.
Merci Nicole.
]]>J’oubliais : cette oeuvre-là me parle infiniment !
]]>Phrase-bateau de ma part : c’est une grande question que tu soulèves là ! Mais je ne sais le dire autrement. Le recul et la maturité nous font voir nos “anciennetés” avec un autre “oeil".
]]>Je dirais moi que l’enfance est une protection, mais aussi une fascination, en même temps qu’une peur, du monde adulte. Comme si être adulte, ça signifiait mourir. D’entrée de jeu, même si ce n’est pas si simple, et même si un enfant “peut” se croire immortel.
]]>“Explication” intéressante et qui dit beaucoup, souvent, des interactions entre art et “réalité".
Et lapsus intéressant, aussi, que ces “pleurs” pour “peurs” enfantines… Bonne journée.
In fact I realize that the idea of making the collage go towards the multiexposedphoto, towards a set of transparencies, does not suit me. I’d like, on the other hand, to push the collage in the opposite direction, that is to say towards its essence: sharp edges, juxtaposition of elements a priori incompatible or incongruous, fragmented space.
En fait je m’aperçois que l’idée de faire aller le collage vers la photo multiexposée, vers un jeu de transparences, ne me convient pas. J’ai envie, par contre, de pousser le collage dans la direction opposée, c’est- à – dire vers son essence : bords tranchants, juxtaposition d’éléments a priori incompatibles ou incongrus, espace fragmenté.
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